jeudi 19 novembre 2020

"La Pandémie SPARS de 2025: chambres d'écho et opposition aux vaccins".



En 2017, le Johns Hopkins Center of Health Security a réalisé une simulation peu publicisée d'une pandémie de coronavirus (SPARS) intitulée "La Pandémie SPARS de 2025: chambres d'écho et opposition aux vaccins".

Dans le rapport de cette simulation, on y voit beaucoup de simitudes avec le déroulement de la crise sanitaire du COVID-19 et le scénario de vaccination projeté dans l'exercice est plutôt inquiétant...

Cette simulation de 2017 s'est tenue deux ans avant la simulation "Event 201", un exercice de pandémie organisé par la Fondation Bill et Melinda Gates en partenariat avec le Johns Hopkins Center for Health Security et le Forum économique mondial. "L'événement 201" a simulé la façon dont le le monde réagirait à une pandémie mondiale de coronavirus. Même type de simulations avec "Clade X", "Crimson contagion" et "Dark winter".

Cet exercice de 2017 impliquant le Johns Hopkins Center for Health Security simulait une pandémie de coronavirus balayant le monde entre 2025 et 2028.

Voici quelques faits dignes d'intérêt contenus dans le rapport annexé ici-bas:

👉 Le rapport note que "les estimations précoces de la létalité ont été gonflées" par le CDC estimant le taux de létalité du virus SPARS à 4,7% et l'OMS affirmant 14-15% et plus de 50% pour les personnes de plus de 64 ans. Exactement ce qui s'est produit avec les premières annonces des autorités sanitaires mondiales pour le SARS-COV2.

👉 Le rapport poursuit en détaillant comment la santé publique et les professionnels de la santé n'ont pas réussi à arrêter la propagation du SPARS. Au moment où Thanksgiving et Black Friday sont arrivés, la transmission de SPARS s'est accélérée en raison de déplacements d'individus asymptomatiques. À la mi-décembre, des cas de SPARS ont été signalés dans 26 États, ainsi qu'au Mexique, au Canada, au Brésil, au Japon et dans plusieurs pays européens. [à suivre]

👉 Le fabricant du vaccin contre le SPARS, la compagnie GMI, a affirmé que le vaccin aiderait, mais les essais cliniques ont révélé des effets secondaires, notamment des jambes enflées, de graves douleurs articulaires et une encéphalite entraînant des convulsions ou la mort. Il n'y avait pas de données disponibles sur les effets à long terme du vaccin GMI. Malgré cette controverse, CynBio, une société pharmaceutique basée aux États-Unis, a développé un vaccin SPARS basé sur la technologie GMI.

Tout comme les sociétés pharmaceutiques qui développent en urgence un vaccin COVID19, la simulation indique que le ministère de la Santé et des Services sociaux a accepté de fournir une protection en matière de responsabilité au fabricant de vaccins CynBio dans le cas où des  accidents post-vaccinaux se produirait. Les responsables du gouvernement américain et de probablement tous les pays ont reconnu que les sociétés de vaccins allaient être indemnisées contre les responsabilités potentielles découlant de leurs produits.

👉 La simulation montre clairement que les responsables de la santé ont prévu des effets secondaires liés aux vaccins et les objections et résistances à l'obligation vaccinale.

👉 En mai 2026, le CDC a admis que le SPARS n'était mortel que dans 0,6% des cas aux États-Unis. Cette réalité s'est reflétée sur les réseaux sociaux, où une grande partie du public a commencé à reconnaître que le SPARS n'était pas aussi dangereux qu'on lui avait dit. [Exactement ce que l'on vit actuellement]

👉 Le rapport détaille comment le CDC, la FDA et d'autres agences gouvernementales ont travaillé avec des "experts des médias sociaux" pour développer des campagnes de publicité pour provouvoir le vaccin. Tout comme dans l'exercice Event 201, la simulation SPARS impliquait de demander l'aide de scientifiques, de célébrités et fonctionnaires bien connus pour réaliser des vidéos et donner des entrevues faisant la promotion des messages gouvernementaux.

👉 Le public n'a pas bien répondu aux campagnes publicitaires et s'est plutôt tourné vers les réseaux sociaux pour exprimer sa désapprobation. Les grands médias ont même commencé à remettre en question le discours du gouvernement et la sécurité du vaccin. L'opposition au vaccin SPARS a fusionné avec le mouvement anti-vaccination qui a émergé sur les réseaux sociaux.

👉 Les opposants au vaccin ont diffusé des informations affirmant que le vaccin n'avait pas été correctement testé et avait des effets secondaires inconnus.

👉 En réponse à l'opposition au vaccin, le gouvernement américain a commencé à travailler avec les médias sociaux et les sociétés de recherche pour cibler les "anti-vaxx".

👉 Le rapport décrit comment des effets secondaires indésirables ont commencé à apparaître à mesure que de plus en plus d'Américains recevaient le vaccin. Les parents ont affirmé que leurs enfants présentaient des symptômes neurologiques. En mai 2027, les parents ont commencé à intenter des poursuites et à exiger la suppression de la responsabilité protégeant les sociétés pharmaceutiques qui ont développé le vaccin Corovax.

👉 À la fin de 2027, de nouveaux symptômes neurologiques ont commencé à apparaître chez les personnes qui avaient pris le vaccin Corovax. "Après n'avoir montré aucun effet secondaire indésirable pendant près d'un an, plusieurs personnes vaccinées ont lentement commencé à ressentir des symptômes tels qu'une vision floue, des maux de tête et un engourdissement dans leurs extrémités", a écrit le Center for Health Security. Le rapport indique qu'en 2030, on ne savait toujours pas si les vaccinations étaient à l'origine des effets secondaires.

👉 Au moment où le rapport se termine, il examine à quoi ressemblera le monde à partir de 2030, cinq ans après le début de la pandémie SPARS. Alors que la pandémie a officiellement pris fin en 2028, des cas persistent dans 14 pays d'Europe, d'Afrique et d'Asie. Les experts de l'OMS prévoient que de futures flambées continueront d'apparaître à moins que les pays ne maintiennent une couverture vaccinale généralisée.

👉 Alors que le public retourne enfin à la "vie normale", les citoyens accusent les politiciens et les représentants d'agences de santé d'avoir exagéré la gravité de l'événement.

👉 La simulation indique que "les théories du complot ont également proliféré sur les réseaux sociaux, suggérant que le virus avait été créé et introduit à dessein dans la population par des sociétés pharmaceutiques ou qu'il s'était échappé d'un laboratoire gouvernemental testant secrètement des armes biologiques". [Exactement ce qui circule sur le web]

Disons que ce scénario n'a rien de rassurant sur la vaccination à venir!

https://www.centerforhealthsecurity.org/our-work/pubs_archive/pubs-pdfs/2017/spars-pandemic-scenario.pdf

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