À partir du 15 mai (aujourd’hui), près de la frontière entre la Jordanie et la Syrie, se déroulera l’un des plus vastes exercices militaires jamais effectués au Proche-Orient. Le plus important exercice militaire américain de tous les temps dans cette région, à la frontière jordano-syrienne, mettant en jeu 12 000 soldats issus de 17 pays dont la France.
L’exercice prévoit l’implication de troupes au sol, de forces aériennes de différents types et de moyens de la marine militaire. Tout cela évidemment sans la participation de la Syrie, même si, toujours par pure coïncidence, la Syrie se trouve à quelques pas de l’endroit où ces 12 000 militaires expérimenteront leurs capacités offensives.
L’exercice prévoit l’implication de troupes au sol, de forces aériennes de différents types et de moyens de la marine militaire. Tout cela évidemment sans la participation de la Syrie, même si, toujours par pure coïncidence, la Syrie se trouve à quelques pas de l’endroit où ces 12 000 militaires expérimenteront leurs capacités offensives.
Le thème de l’exercice, d’après nos sources, porte sur l’entrainement à la « guerre irrégulière », aux « opérations spéciales » et à la « contre-insurrection ». Cette dernière expression semble indiquer des opérations gouvernementales destinées à se débarrasser de formations de combattants non réguliers. Dit un peu plus brutalement : « écraser une rébellion ».
Quelque esprit mal tourné a vu une relation entre cet exercice militaire tombant à un moment plutôt très opportun, et la guerre civile qui sévit depuis plusieurs mois en Syrie. Mais les soupçons ont été promptement démentis par des sources américaines qui ont donné des nouvelles de cet événement ce vendredi. Le but serait simplement d’intégrer les troupes jordaniennes dans le dispositif général de sécurité de la zone mis en place par les États-Unis avec la collaboration du commandement de l’OTAN en Méditerranée. Que viennent y faire les 15 autres pays, dont l’Italie, ce n’est pas très clair. Et on ne connait toujours pas, à cet instant, la liste précise des pays qui y participeront.
L’exercice s’appelle « Eager Lion 2012 ». Il constitue un geste cordial d’amitié qu’Amman [capitale de la Jordanie – NdT] s’est senti en devoir de faire vis-à-vis du bailleur de fonds états-unien, qui a déboursé au moins 2,4 milliards de dollars ces 5 dernières années en « aide », dont la majeure partie est d’ailleurs allée à l’acquisition d’armements produits par les USA.
À la frontière turque, sont en train de s’amasser des contingents complets de troupes irrégulières de la très libre armée insurrectionnelle syrienne, guidée par les ex-membres de ce qu’on a appelé l’« al-Qaïda libyenne ». Ceux-ci seraient en train de faire exactement ce que, de l’autre côté, à la frontière jordanienne, les militaires US, jordaniens et de l’OTAN s’entrainent à désamorcer. Sauf que dans ce cas précis, les uns et les autres font partie de la même tenaille, dont le but est bien d’abattre le régime syrien.
Mais, que ce soit clair, tout cela n’est que pure coïncidence.
Source:
http://www.israelnationalnews.com/News/News.aspx/155840#.T7MIZesV28B
L’exercice prévoit l’implication de troupes au sol, de forces aériennes de différents types et de moyens de la marine militaire. Tout cela évidemment sans la participation de la Syrie, même si, toujours par pure coïncidence, la Syrie se trouve à quelques pas de l’endroit où ces 12 000 militaires expérimenteront leurs capacités offensives.
Le thème de l’exercice, d’après nos sources, porte sur l’entrainement à la « guerre irrégulière », aux « opérations spéciales » et à la « contre-insurrection ». Cette dernière expression semble indiquer des opérations gouvernementales destinées à se débarrasser de formations de combattants non réguliers. Dit un peu plus brutalement : « écraser une rébellion ».
Quelque esprit mal tourné a vu une relation entre cet exercice militaire tombant à un moment plutôt très opportun, et la guerre civile qui sévit depuis plusieurs mois en Syrie. Mais les soupçons ont été promptement démentis par des sources américaines qui ont donné des nouvelles de cet événement ce vendredi. Le but serait simplement d’intégrer les troupes jordaniennes dans le dispositif général de sécurité de la zone mis en place par les États-Unis avec la collaboration du commandement de l’OTAN en Méditerranée. Que viennent y faire les 15 autres pays, dont l’Italie, ce n’est pas très clair. Et on ne connait toujours pas, à cet instant, la liste précise des pays qui y participeront.
L’exercice s’appelle « Eager Lion 2012 ». Il constitue un geste cordial d’amitié qu’Amman [capitale de la Jordanie – NdT] s’est senti en devoir de faire vis-à-vis du bailleur de fonds états-unien, qui a déboursé au moins 2,4 milliards de dollars ces 5 dernières années en « aide », dont la majeure partie est d’ailleurs allée à l’acquisition d’armements produits par les USA.
À la frontière turque, sont en train de s’amasser des contingents complets de troupes irrégulières de la très libre armée insurrectionnelle syrienne, guidée par les ex-membres de ce qu’on a appelé l’« al-Qaïda libyenne ». Ceux-ci seraient en train de faire exactement ce que, de l’autre côté, à la frontière jordanienne, les militaires US, jordaniens et de l’OTAN s’entrainent à désamorcer. Sauf que dans ce cas précis, les uns et les autres font partie de la même tenaille, dont le but est bien d’abattre le régime syrien.
Mais, que ce soit clair, tout cela n’est que pure coïncidence.
Source:
http://www.israelnationalnews.com/News/News.aspx/155840#.T7MIZesV28B
et lA RUSSIE
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