Les Forces canadiennes sont actuellement en train d'augmenter leur capacité à recueillir des données biométriques, comme l'ADN et le scan de l'iris des gens. L'armée échangerait ces informations avec d'autres départements de gouvernement fédéral s'ils ont besoin d'avoir accès à de telles informations ou aux technologies, selon les documents obtenus par le Citizen d'Ottawa.
L'armée a recueilli des centaines d'informations biométriques en Afghanistan, principalement des personnes détenues par les troupes ou d'individus suspects. Il semble que l'utilisation de la technologie permettant l'identification biométrique aurait commencé en Afghanistan en 2009.
Depuis avril 2010, les Forces canadiennes ont été mandatées à étendre leur capacité à recenser des données biométriques en dehors du champ de bataille. La prise d'ADN, scan de l'iris, photos du visages, sont toutes des informations emmagasinées dans des banques de données disponibles aux agences gouvernementales et aux agences de renseignement.
L'Union américaine des libertés civiles a averti que la biométrie est une composante-clé qui permet au gouvernement d'établir une société de surveillance. Toutefois, les autorités militaires et des services de renseignement se défendent en disant que cet outil est important pour traquer les insurgés et les terroristes [voilà, la réponse est complète!].
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